mercredi 16 juillet 2025 à 17h30
STOP GÉNOCIDE À GAZA : RASSEMBLEMENT À ST-GO
Restons mobilisé.e.s !
- Stop génocide à Gaza : cessez-le-feu immédiat et définitif
- Stop occupation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est
- Levée du blocus, illégal et criminel, de Gaza
- Sanctions immédiates contre Israël jusqu'au respect du droit international
"Lundi, le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a présenté le nouveau plan du gouvernement. Un plan visant à concentrer toute la population de la bande de Gaza dans une nouvelle ville construite sur les ruines de Rafah. Ils l'appellent une « ville humanitaire ».
Les seules personnes autorisées à quitter la « ville » le feront par le biais de mécanismes mis en place pour encourager « l'émigration volontaire ». Un autre euphémisme qui s'est imposé dans le discours dominant. Une solution bien trop commode à la terrible crise humanitaire que nous avons créée.
Les termes « ville humanitaire » et « émigration volontaire » sont une tentative d'utiliser le langage pour masquer la terrible réalité. Tout comme les « centres d'aide », les quatre centres GHF qui sont censés desservir environ 2 millions de personnes. Et tout comme lorsque l'armée dit qu'elle « dirige la population avec le feu », cela signifie en réalité que des dizaines de Palestiniens affamés sont tués chaque jour autour de ces mêmes « centres d'aide ».
Le chef d'état-major a affirmé que le déplacement de la population visait à réduire les dommages causés aux civils, mais entasser des centaines de milliers de personnes dans un espace minuscule et « les diriger avec le feu » ne peut en aucun cas être considéré comme une « réduction des dommages ».
Le gouvernement israélien manipule le langage pour dissimuler ses politiques les plus horribles. Traduisons donc :
Concentrer des millions de personnes déplacées affamées sur les ruines d'une ville ne revient pas à créer une « ville humanitaire », tout comme le nettoyage ethnique n'est pas une « émigration volontaire », les pièges mortels ne sont pas des « centres de distribution d'aide » et les milliers d'enfants morts ne sont pas des « dommages collatéraux ».
Le gouvernement israélien manipule le langage pour dissimuler ses politiques les plus horribles. Traduisons donc :
Concentrer des millions de personnes déplacées affamées sur les ruines d'une ville ne revient pas à créer une « ville humanitaire », tout comme le nettoyage ethnique n'est pas une « émigration volontaire », les pièges mortels ne sont pas des « centres de distribution d'aide » et les milliers d'enfants morts ne sont pas des « dommages collatéraux ».
Peu importe la finesse du langage utilisé, qu'il serve à adoucir la réalité ou à la justifier. Quand c'est mal, c'est mal. Ne prêtez pas attention à leurs paroles, regardez leurs actes.
Ne restez pas silencieux. Parlez."
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Source : message reçu le 12 juillet 10h